window.onload = function fillVideo(){ const WIDE_VIEWPORT = 520; const wideViewport = window.matchMedia(`(min-width: ${WIDE_VIEWPORT}px)`); const MIN_DOWNLINK = 1; function resizeVideo(wideViewport) { let videos = document.querySelectorAll('[data-element="hero-video"]'); videos.forEach(videoEl => { let src = videoEl.dataset.srcMobile; let poster = videoEl.dataset.posterMobile; if (wideViewport.matches) { src = videoEl.dataset.srcDesktop; poster = videoEl.dataset.posterDesktop; } let downlink = MIN_DOWNLINK; try { downlink = navigator.connection.downlink; } catch (e) { console.log(`Unable to determine downlink`); } if (videoEl.src !== src) { if (downlink >= MIN_DOWNLINK) { videoEl.src = src; videoEl.poster = poster; console.log(`Detected bandwidth (${downlink}Mbps) greater than threshold (${MIN_DOWNLINK}Mbps) - showing video`); } else { videoEl.poster = poster; console.log(`Not showing video due to low bandwidth`); } } }); } wideViewport.addListener(resizeVideo); resizeVideo(wideViewport);} function toggleMute() { var video=document.getElementById("video"); var mutebutton = document.getElementById("mute"); video.muted = !video.muted; if(mutebutton.classList.contains("fa-volume-slash")){ mutebutton.classList.replace("fa-volume-slash", "fa-volume"); } else{ mutebutton.classList.replace("fa-volume", "fa-volume-slash"); } }
03 septembre 2024

Article d'opinion - Le chèque-état : élan ou effet de mode ?

Matthias Vermeulen, expert en immobilier et directeur commercial chez Zabra, donne son point de vue critique sur le récent battage médiatique autour de la note d'État. Le gouvernement le présente comme un investissement sûr et durable, mais Matthias Vermeulen met en garde contre une focalisation trop unilatérale sur la sécurité au détriment du rendement.

Pourquoi se contenter d'un bon d'Etat quand on peut aussi faire mieux ? Avec l'arrivée du bon d'Etat d'un an en septembre dernier, cet outil d'investissement semble être pleinement remis au goût du jour. Pas moins d'un demi-million de Belges ont souscrit au bon d'Etat, pour un montant record de près de 22 milliards d'euros. Mais qu'est-ce qui fait la spécificité du bon d'Etat ? Et surtout, n'y a-t-il pas des moyens plus intelligents de faire fructifier son argent durement gagné ?

L'attrait spécifique du bon d'État susmentionné réside principalement dans sa maturité d'un an ET dans la réduction du précompte mobilier de 15 % au lieu de 30 %. Il en résulte un rendement net de 2,81 %. C'est plus que ce qu'offraient les banques à l'époque, mais - en toute honnêteté - est-ce vraiment si spécial ?

L'objectif de ce billet d'État populaire était principalement de faire pression sur les banques pour qu'elles augmentent leurs taux d'intérêt. Et oui, de ce point de vue, l'émission était certainement judicieuse. Mais qu'en est-il de l'avenir ? L'Agence fédérale de la dette prévoit d'introduire le 5 septembre un nouveau bon d'État d'une durée d'un an. Contrairement à la précédente, cette nouvelle obligation n'offre pas d'avantage fiscal. C'est donc le moment idéal pour se demander s'il ne vaudrait pas mieux investir ses sous ailleurs. Un choix moins à la mode mais fiable reste l'immobilier.

De staatsbon

"L'année dernière, le bon d'État a permis d'obtenir un rendement net de 2,81 %. C'est plus que ce que les banques offraient à l'époque, mais - en toute honnêteté - est-ce vraiment si spécial ?" - Matthias Vermeulen

Le plus grand avantage de l'obligation d'État est sa sécurité. Le risque de faillite de l'État est faible, ce qui vous permet d'investir en toute sécurité et d'éviter que votre argent ne reste bloqué pendant des années. Mais la sécurité a un prix : la durée de votre investissement est courte et le rendement relativement faible. L'immobilier, en revanche, est un investissement stable à long terme, dont le rendement net oscille entre 3 et 4 % en moyenne. Outre le rendement, vous percevez également un loyer mensuel, ce qui vous assure un flux de revenus constant.

En outre, les obligations d'État sont sensibles à l'inflation. Si l'inflation augmente, la valeur de votre investissement diminue. L'immobilier et les loyers sont indexés annuellement, ce qui protège vos revenus même en cas d'inflation galopante. En outre, les biens immobiliers prennent de la valeur, ce qui vous permet de réaliser des plus-values à long terme lors de leur vente. Un tel rendement n'est pas possible avec les obligations d'État.

Enfin, l'immobilier est un investissement tangible et concret ; vous pouvez littéralement voir où se trouve votre argent et vous avez un contrôle direct sur votre propriété. Vous pouvez décider de la manière de gérer le bien et d'en augmenter la valeur. Avec les obligations d'État, en revanche, la destination de votre argent est moins transparente. De plus, vous n'avez aucun contrôle sur la performance ou la valeur de votre investissement.

Soyons réalistes : les obligations d'État ont incontestablement fait leurs preuves l'année dernière. Son succès retentissant a clairement montré qu'il fallait agir pour remédier aux faibles taux d'intérêt pratiqués par les banques. Mais aujourd'hui, un an plus tard, la situation a changé. Il est temps d'envisager des possibilités d'investissement plus rentables. En effet, la diversification est essentielle pour un bon portefeuille d'investissement. En répartissant vos investissements sur différents actifs tels que les obligations d'État, l'immobilier et d'autres options, vous réduisez les risques et augmentez les chances d'obtenir des rendements stables.


En bref, il y a une vie au-delà du billet d'État. Investissez plus intelligemment, investissez plus largement !

Nous avons sélectionné pour vous quelques opportunités d'investissement intéressantes

cookies
COOKIES ! Les cookies que nous utilisons servent à améliorer votre expérience sur notre site et à des fins d'analyse et de marketing telles que la personnalisation des annonces. Nous ne les plaçons que si vous nous en donnez l'autorisation. Cookie Policy